Sceautres

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Sceautres
Sceautres
Vue générale sur Sceautres.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Largentière
Intercommunalité Communauté de communes Berg et Coiron
Maire
Mandat
Joël Cros
2020-2026
Code postal 07400
Code commune 07311
Démographie
Population
municipale
152 hab. (2021 en augmentation de 6,29 % par rapport à 2015)
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 37′ 01″ nord, 4° 36′ 33″ est
Altitude Min. 292 m
Max. 703 m
Superficie 14,64 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Berg-Helvie
Législatives Première circonscription
Localisation
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Sceautres
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Sceautres
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Sceautres

Sceautres est une commune française située dans le département de l'Ardèche, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Situé au cœur du massif (ou plateau) volcanique du Coiron, au sud de Privas, le village est positionné au pied d'un piton volcanique dénommé neck de Sceautres.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune de Sceautres est une commune à l'aspect essentiellement rural. Elle est située à 20 minutes de Montélimar, 50 minutes de Valence et à 1 heure 30 de Marseille et de Lyon.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Sceautres et son neck

Situé dans une vallée d'inversion de relief dans le massif du Coiron, le village est remarquable par sa situation au pied du neck de Sceautres. Situé dans une vallée sur le versant sud du plateau du Coiron, le site de Sceautres offre un magnifique exemple de ce que peuvent faire le feu et l'eau. Le feu car ce sont les volcans il y a 8 millions d'années qui en remplissant de lave une vallée, vont former une couche de basalte très dur. Puis l'eau, car c'est l'érosion par l'eau qui a dégagé la vallée actuelle en provoquant une inversion de relief et la formation du neck de Sceautres, le plus gros neck d'Europe : piton de roches dures, correspondant à l'emplacement d'une ancienne cheminée volcanique, mis en relief par l'érosion, de gigantesques orgues basaltiques et une multitude de dykes (filon de roche magmatique dégagés par l'érosion).

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le Frayol, petite rivière de 13,86 km, affluent du Rhône, prend sa source sur le territoire de la commune[1]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 280 mm, avec 7,1 jours de précipitations en janvier et 4,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Berzème Rad », sur la commune de Berzème à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 167,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Les Allignols, les Avisans (les Avisins), Baumevert, le Bouchet, Brun, Charaubarès, Chauvière, Cros Laffont, la Fontaine, Faÿ, Fournat, Freize, Gachette, Gauthier, Gourgon, Guegnaire, l'Hubac, la Fontaine, Lamarinier, Langelar, Mège, Rigord, Traslauran, le Vernet[8].

Typologie[modifier | modifier le code]

Sceautres est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (42,6 %), forêts (28,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (24,6 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %)[14].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune de Sceautres est situé en zone de sismicité no 3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes situées dans la vallée du Rhône et la Basse Ardèche, mais non loin de la limite orientale de la zone no 2 qui correspond au plateau ardéchois[15].

Terminologie des zones sismiques[16]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Sceautres dépendait du diocèse de Viviers et de la subdélégation du Bas-Vivarais. Au XVIe siècle, lors des guerres de religion, les protestants massacrèrent la garnison.

Le , la seigneurie de Sceautres - en même temps que celles de Rochemaure et de Meysse - fut vendue à Claude-Louis Garnier Deshières, juge de Rochemaure, par le prince de Soubise. Cette vente fut consentie au prix de 152 000 livres[17]. Tout comme Rochemaure et Meysse, ce fief provenait de la dot de la grand-mère paternelle du prince de Soubise, Anne-Geneviève de Lévis-Ventadour, mariée en 1694 avec Hercule Mériadec de Rohan, prince de Soubise[18].

Dès le de la même année 1784, le juge Deshières revendit Sceautres par "élection d'ami", au prix de 36 000 livres, à Gabriel de Vincenti de Montséveny[19].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Entrée du village et mairie (à gauche de la photo)

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1828 janvier 1832 Jean-Claude Boyer[20]   Cultivateur
janvier 1832 mai 1836 Étienne Girard[21]   Cultivateur
novembre 1840[22] mai 1847 Étienne Hilaire Rocher[23]   Cultivateur
septembre 1848 janvier 1851 Jean-Baptiste Chaussignand[24]   Cultivateur
janvier 1851 décembre 1851 François Nicolas[25]   Cultivateur
décembre 1851 février 1859 Casimir Boyer[26]   Cultivateur[27]
février 1859 mars 1866 Pierre Hilaire Martaresche[28]   Cultivateur[29]
mars 1866 mai 1869[30] Philippe Descours[31]   Moulinier[32]
décembre 1869 septembre 1870 Pierre Hilaire Martaresche[33]   Cultivateur
septembre 1870 août 1871[34] Camille Nicolas[35]   Cultivateur[36]
août 1871 décembre 1877 Casimir Boyer[37]   Cultivateur
décembre 1877 décembre 1883 Auguste Laville[38]   Cultivateur[39]
décembre 1883 mai 1888 Adrien Ludovic Boyer[40]   Cultivateur[41]
mai 1888 mai 1896 Joachim Nicolas[42]   Cultivateur[43]
mars 1989 mars 2008 Christiane Sevenier PCF  
mars 2008 23 mai 2020 Laurent Turrel DVG Agriculteur
23 mai 2020 En cours
(au 24 avril 2014)
Joël Cros DVG Retraité

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].

En 2021, la commune comptait 152 habitants[Note 2], en augmentation de 6,29 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
352319355413472502540528550
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
600573581560560506504510435
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
405433402338329310300240180
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1601251109696104133141144
2018 2021 - - - - - - -
145152-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Médias[modifier | modifier le code]

La commune est située dans la zone de distribution de deux organes de la presse écrite :

Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et couvrant l'actualité de tout le département de l'Ardèche.
Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition de Privas-Vallée du Rhône.

Cultes[modifier | modifier le code]

L'église de Sceautres (propriété de la commune) et la communauté catholique dépendent de la paroisse Charles-de-Foucauld - Viviers / Le Teil dont le siège diocésain et la maison paroissiale sont situés à Viviers[48].

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Vue du village depuis le sommet du neck.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le village[modifier | modifier le code]

Porte clocher fortifiée du XVe siècle.

La porte clocher fortifiée, datant du XVe siècle, est bien conservée et reste un point central de la physionomie du village. Elle était la seule entrée du village et comportait un double battant en bois complété par une herse. Elle abrite encore de nos jours les cloches du village.

L'église Saint-Étienne[modifier | modifier le code]

Église de Sceautres.

L'église Saint-Étienne, de style roman, était intégrée aux remparts, l'entrée se faisant alors par une porte latérale.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Sceautres possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau (V4340560) ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Sceautres et Berzème », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Berzème Rad », sur la commune de Berzème - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Berzème Rad », sur la commune de Berzème - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. Source : Archives Municipales de Sceautres et carte topographique au 1/25000e n° 2938 est Villeneuve-de-Berg.
  9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
  16. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  17. Marc Cheynet de Beaupré, Le dernier seigneur de Rochemaure, Revue du Vivarais, tome CVIII, 2004, p. 236 et 240.
  18. Michel Riou, Ardèche, terre de châteaux, Montmélian, La Fontaine de Siloé, 2002, p. 214.
  19. M. Cheynet de Beaupré, Le dernier seigneur de Rochemaure, Revue du Vivarais, tome CVIII, 2004, p. 243.
  20. Archives Municipales de Sceautres. 1828-1832.
  21. Archives Municipales de Sceautres. 1832-1836.
  22. Entre 1836 et 1840, il n'y a pas de maire à Sceautres. Sources : Archives Municipales de Sceautres. 1836-1840.
  23. Archives Municipales de Sceautres. 1840-1847.
  24. Archives Municipales de Sceautres. 1848-1851.
  25. Archives Municipales de Sceautres. 1851.
  26. Archives Municipales de Sceautres. 1851-1859.
  27. 18 mai 1857, mariage avec Henriette Virginie Dufour. Sources : Archives Municipales de Sceautres, mariages 1857, acte n° 1.
  28. Sources : Archives Municipales de Sceautres. 1859-1866.
  29. 23 avril 1839, mariage avec Rosalie Mège. Sources : Archives Municipales de Sceautres, mariages 1839, acte n° 2.
  30. Décédé le 1er mai 1869. Sources : Archives Municipales de Sceautres, décès 1869, acte n° 5.
  31. Sources : Archives Municipales de Sceautres. 1866-1869.
  32. 1er mai 1869, acte de décès. Sources : Archives Municipales de Sceautres, décès 1869, acte n° 5.
  33. Sources : Archives Municipales de Sceautres. 1869-1870.
  34. Président de la Commission municipale, faisant fonction de maire de septembre 1870 à mai 1871 puis maire en titre à compter de cette date. Sources : Archives Municipales de Sceautres. 1870-1871.
  35. Sources : Archives Municipales de Sceautres. 1870-1871.
  36. 14 octobre 1899, mariage de son fils François Camille Nicolas avec Marie Marceline Durand. Sources : Archives Municipales d'Alba, mariages 1899, acte n° 8.
  37. Archives Municipales de Sceautres. 1871-1878.
  38. Archives Municipales de Sceautres. 1877-1883.
  39. 20 janvier 1850, mariage avec Athalie Élisabeth Chalabreysse. Sources : Archives Municipales de Sceautres, mariages 1850, acte n° 1.
  40. Archives Municipales de Sceautres. 1883-1888.
  41. 24 août 1880, mariage avec Justine Adelline Trinquet. Sources : Archives Municipales de Sceautres, mariages 1880, acte n° 1.
  42. Archives Municipales de Sceautres. 1888-1896. Ce maire est le fils de François Nicolas, maire de Sceautres de janvier à décembre 1851.
  43. 26 mai 1898, mariage avec Marie Julienne Angéline Allignol. Sources : Archives Municipales de Sceautres, mariages 1898, acte n° 1.
  44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  46. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  48. Site ardeche.catholique.fr, page sur la paroisse Charles de Foucauld – Viviers / Le Teil, consulté le 5 novembre 2023.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]